Ana-Juliet de Rochefort Elle est si belle, notre impératrice! Les Espagnoles sont toutes magnifiques!
Messages : 20 Ors : 45186 Réputation : 0 Date d'inscription : 30/12/2011 Age : 25 Localisation : ...devant Moulin rouge avec...allez 256996444499000000 mouchoirs...
Et vous, qui êtes-vous? Nom & prénom(s): Ana-Juliet Vos relations: ...
| Sujet: L'envie de se cacher n'est plus, lorsqu'elle n'a jamais été...(PV: TOUTES!!...) Sam 31 Déc - 18:36 | |
| Divaguant le long des allées, couverte d'un simple voile fin, sur ses maigres épaules...Fredonnant un air étrange... Pensive...Ana-Juliet marchait, sans prendre le temps de regarder les enseignes qui défilaient devant elle, ni de s'empêcher de trébucher sur les pavés humides. Elle regardait de temps à autre, passer de vieux matous gris, empestants la ville et le poisson...Le Duc -car, elle préférait l'appeler ainsi plutôt que "mon père"- la laissait se promener en ville quelques minutes chaque jour. Depuis qu'il étaient arrivé dans cette ville sinistre, pourtant adorée des français, Ana-Juliet ne savait comment oublier la belle nature, et les forêts fleurissantes de la campagne...Elle se souvenait comment elle courait - sans que nul ne le sache- sous les arbres à demi-morts, qu'elle trébuchait et salissait sa robe. Espérait attraper un lapin, et montait ses mains blanches dans le trou écorché d'un arbre titanesque...Il ne fallut pas le dire mais...Elle avait un jour ramenée une petite fée de l'un de ces trous...mais attention, c'est un secret..et, après tout, elle n'était pas folle... Ana s'arrêta enfin devant une boutique qui l'avait attirée...Sur l'enseigne on lisait " Librairie et Sorts..." Elle n'avait pas la moindre idée de ce qui pouvait se trouver dans un tel lieu. Elle attendit juste devant la vitrine, espérant apercevoir quelque chose. Dans le peu de luminosité, elle distingua seulement des livres entassés, quelques bibelots, des diamants par milliers, sous formes de bagues tape à l'oeil, ainsi que des pétales de roses desséchés flottant à la surface de liquides étranges... Elle poussa la porte... Là, ele ne vit rien de plus que ce qu'elle avait déjà vu...Or mis un caisse bien moins dérangée, ou pendait des bijoux étranges, et ou ronflait un vieillard au visage rond... Ell l'eut interpellée, ou aurait posée sa main blanche sur son épaule pour le tirer du sommeil. Mais une femme - car, à la douceur des pas, et au bruit délicat du froissement de sa robe, elle sut qu'il s'agissait d'une femme- entra dans la boutique... |
|