Le cercle des Dames

Vous l'avez peut-être remarqué mais vous avez (plutôt aviez) de l'or .Mais pchut plus rien tout simplement que j'ai décidée de mettre au point un système .Je vous soumet donc une liste de se qui vous feras gagner ou perdre e l'or .

pour gagner

en général

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les groupes(et oui on a un salaire)
chaque semaine chaque groupe recevras un salaire .

…

[ Lecture complète ]

L'acte du mariage civil est enregistré au palais des Tuileries dans la salle des Maréchaux, le 23 janvier 1853 à 20 heures. Le mariage religieux suis à Notre-Dame de Paris le 30 janvier 1853. La commission municipale de la ville de Paris, le 26 janvier 1853, veut offrir à la nouvelle mariée une parure de diamants d'une valeur de 600 000 francs or. Eugénie remercie mais refuse le collier, préférant que soit créé avec cet argent un établissement d’éducation gratuite pour des jeunes filles orphelines pauvres.

-Voilas comment s'est dérouler mon mariage ce collier était magnifique certes, mais vous ne pensez pas que l'éducation de jeunes filles est plus importante?
Voici la première phrase que je prononçais a mon cercle, je fut étonnée elles avaient toutes l'ai perplexe .Elles pensaient que j'avais tord les jeunes françaises était-elles si bête ?Non j'avais rencontrée une jeune servante un peut plus tôt et elle m'avais approuvée Oui Louisette Martin une jeune servante a mon service.
Elles ne parlaient pas elles avaient l'ai gênés .Alors je pris une décision j’appelais Louisette .Mais soudainement ma sœur arriva quelle ne fut pas mon soulagement.

Eugénie & Maria

"Le Cercle des Dames"

« Quelle tristesse
lorsque vous n'êtes pas là! »

CRÉDIT - CSS

Ce jour-là avait lieu le mariage de ma sœur, Eugénie de Montijo, avec l'empereur des Français Napoléon III. Je ne savais si ma sœur l'aimait, mais ce que j'ai toujours su, c'est que ma petite sœur, lorsqu'elle était amoureuse, éprouvait une passion sans limites. Malheureusement, on m'avait rapporté que mon beau-frère appréciait beaucoup les femmes... J'étais certaine qu'il tromperait Eugénie. Je ne lui faisais pas beaucoup confiance. Il avait peut-être fait bonne impression sur le reste de notre famille, mais moi, je n'étais pas dupe. S'il rendait triste Eugénie ou qu'il la repousserait, je ne le lui pardonnerait jamais, il pourrait en être certain... Le mariage était splendide et j'avais pressenti l'angoisse de ma sœur la veille. Nous avions parlé, comme nous le faisions si souvent étant enfants... Maintenant, nous étions désormais des épouses, qui devraient donner des héritiers. Cela faisait peu de temps que j'étais devenue madame la duchesse d'Albe. J'avais également hérité de tous les titres de ma famille. J'avais une relation étrange avec mon époux, certaines fois nous nous aimions vraiment et profondément, d'un amour sincère, mais parfois nous vivions sans nous aimer, nous disputant, etc... Ainsi, en vérité, ils arrivait qu'il me trompait et je faisais parfois de même...
Revenons-en à ma sœur. Le mariage terminé, une parure de diamants avait été offerte à Eugénie. Elle l'avait refusée et avait proposé d'ouvrir un orphelinat pour jeunes filles pauvres. J'avais sourit en entendant ses paroles, car je la savais bonne et généreuse. Maintenant, je circulai dans le Palais des Tuileries à la recherche ma sœur. Je l'avais enfin trouvée, en compagnie de son cercle. Celles-ci semblaient gênées.
-Ah Eugénie enfin je te trouve ! Je t'ai cherché partout!

Me souvenant que nous étions en public, je rougissais et m'inclinai devant la nouvelle impératrice de France.
-Bonjour, Majesté. Comment allez-vous?

J'observais l'assemblée...

Maria était arrivée et m'avais saluée fort peut poliment puis elle s'était vite rattrapée j'avais sourie car ici rire était interdit j'avais souvent imprécision que vivre était interdit mais quand Maria était la tout disparaissez .
-Fort bien merci de vous en préoccuper !Pourquoi donc me cherchiez -vous ?Mais avant de répondre je vais vous présentera ces dames .Mesdames je vous présente m a sœur ! dise tout enjoue de la revoir enfin en ce pays en cette nouvelle vie ,en ce monde si monotone elle m’apporterais a coup sur la joie.